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Loïc Ythier
Chauffeur Privé
Un vrai sudiste originaire du sud de la France depuis 1979.
J'exerce mon activité au départ de Montpellier depuis Décembre 2018.
De nature sociable et aimant conduire, ce métier me permet d'associer conduite et relationnel.
Mes prestations:
Mise à disposition ( à l'heure, demi-journée et journée )
Trajets toutes distances ( au forfait ou au kilomètre )
Réservation à l'avance, j'organise vos sorties si nécessaire (exemples : réservation boîte de nuit, journée Aqua-land "l'été", visite du musée de l'Espace à Toulouse, journée en Espagne, musée Haribo Uzès).
Evènements spéciaux ( mariage, baptême )
Mes prestations à venir : transport de tous biens précieux( bijoux, documents importants etc.... France et hors France, (uniquement réservé aux personnes ayant de gros moyens financiers "trajets coûteux").
Mon Véhicule: Skoda Octavia noire jusqu'à mi-Septembre
Une magnifique Volkswagen Artéon blanche intérieur cuir au design soigné et très confortable. (à partir de mi-Septembre, en attente de livraison)
Me contacter:
Tel: 06 60 98 46 17

Photos non contractuelles

LES CHOSES A FAIRE DANS LA RÉGION
La Bambouseraie :





La bambouseraie en Cévennes (connue aussi sous le nom bambouseraie d'Anduze ou bambouseraie de Prafrance) est un jardin exotique situé à Générargues dans le Gard.
Unique en Europe par ses dimensions, la bambouseraie en Cévennes se situe dans un domaine d'une superficie de 34 hectares (le parc, seule partie ouverte au public, couvre à lui seul 15 hectares) à 11 km au sud-ouest d'Alès et à 2 km au nord d'Anduze. Elle contient des bambous plantés à partir de 1856 par Eugène Mazel (es).
C'est un parc ouvert au public, qui comprend :
- une forêt de bambous géants ;
- le bambousarium : propose sur une petite surface une sélection de différentes espèces de bambous présents sur le site ;
- un jardin d'inspiration japonaise ;
- un labyrinthe ;
- un village laotien ;
- le vallon du Dragon : ce jardin japonais créé en 2000 (année du Dragon), s'étend sur 15 000 m2 et repose sur les principes du Feng Shui ;
- des serres construites en 1860 par Eugène Mazel ;
- un jardin floral ;
- Le jardin des Bassins d'Eugène
- Une jardinerie (ventes de bambous et nombreuses autres plantes) en accès libre.
- Une grande boutique
- Un snack en été
Les bambous prospèrent dans ce site qui bénéficie d'un climat très favorable à leur culture et forment une véritable jungle. Ce parc a servi de cadre pour le tournage de plusieurs films, dont Le Salaire de la peur, d'après le roman de Georges Arnaud, et Paul et Virginie.
Depuis quelques années, à la manière de nombreux autres jardins contemporains, le site accueille des installations d'artistes, plus ou moins pérennes ou éphémères.
La Bambouseraie de Prafrance fut créée en 1856 par Eugène Mazel (es), un cévenol passionné de botanique. Jeune orphelin, il est confié à son oncle maternel, un riche armateur marseillais. À la mort de celui-ci, il hérite d'une fortune qu'il met au service de sa passion pour l'horticulture et les sciences naturelles. En 1855, il débute l'aménagement du domaine de Prafrance à Générargues et construit les canaux d'irrigation essentiels à la croissance des végétaux. En 1856, il réalise ses premières plantations de bambous Phyllostachys Mitis, Phyllostachys viridiglaucescens et Phyllostachys edulis, et essaie d'acclimater des espèces exotiques en provenance du Japon, d'Amérique du Nord et de la région himalayenne.
En 1890, Mazel subit des revers de fortune entraînant sa faillite. Ses biens sont hypothéqués et, séparé de son œuvre, il meurt à Marseille. En 1902, Gaston Nègre achète la Bambouseraie et poursuit l'œuvre de Mazel. En 1945, son fils Maurice Nègre, ingénieur agronome, prend la relève de son père et avant-gardiste, ouvre le parc au public moyennant un droit d'entrée. Le parc fut très gravement endommagé par les inondations du Gardon, en 1958. À la mort de Maurice Nègre, en 1960, c'est son épouse Janine, qui continua l'œuvre de son mari. En 1977, sa fille Muriel et son mari (ingénieur agronome) prirent en main la gestion du domaine et le développement du parc.
Depuis 2004, c'est Muriel Nègre qui préside à la destinée de la bambouseraie qui devient Jardin remarquable en 2005 et fut inscrite sur la liste supplémentaire des monuments historiques en 2008.
Cascade de la vis :




La cascade de la vis, c'est probablement le plus bel endroit que j'ai eu l'occasion de visiter, que ce soit pour une baignade, une promenade, où un shooting photo dans un spot de rêve, ces chutes d'eau méritent vraiment d'être connu.
Les cascades de la vis, un lieu de baignade exceptionnel à une heure de Montpellier
Après cinq mois d'attente, notre nouvelle voiture vient enfin d'être livrée, une voiture 100% électrique ! Deux jours avant le week-end...
C'est une première pour nous. Le choix de notre destination est déjà fait : la cascade de la vis à Saint Lauren du Minier ... à 1h30 de Bagnols-sur-Cèze, soit 3h aller-retour ! (si l'autonomie nous permet de faire le retour lol)
Sur le trajet, nous traversons Notre Dame de Londres, un petit village aux rues pavées pleines de charme, hélas les enfants se sont endormis, nous prenons quand même le temps de faire une photo, avant de poursuivre notre route.
Dès l'arrivée aux cascades, l'émerveillement est total, le paysage, les couleurs et la végétation rappellent les cartes postales de certaines îles tropicales !
Les chutes font plus de quatre mètres de haut, il y a des cascades un peu partout, impossible de toutes les prendre en photo...
L'endroit est idéal pour la baignade. Même en été, ce n'est pas surchargé de monde, nous avons passé une excellente journée en famille.
La cascade de la vis se situe à saint Laurent du Minier, entre le Gard et l'Hérault, à quelques kilomètres de Ganges, à moins d'une heure de Montpellier
Point GPS : 43.925711 / 3.662937
Le Pont du Gard :






Le pont du Gard est un pont-aqueduc romain à trois niveaux situé à Vers-Pont-du-Gard entre Uzès et Remoulins, non loin de Nîmes, dans le département français du Gard. Il enjambe le Gardon. Probablement bâti dans la première moitié du ier siècle, il assurait la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l'eau d'Uzès à Nîmes. D'après les dernières recherches, il aurait cessé d'être utilisé au début du vie siècle.
Au Moyen Âge, les piles du second étage furent échancrées et l'ouvrage fut utilisé comme pont routier. Dès le xvie siècle, l'architecture exceptionnelle du pont du Gard ayant attiré l'attention, l'ouvrage bénéficia dès lors de restaurations régulières destinées à préserver son intégrité. Un pont routier lui fut accolé en 1743-1747. Plus haut pont-aqueduc connu du monde romain, il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiquespar la liste de 18401 et a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en décembre 1985
Le pont du Gard est la partie monumentale d'un aqueduc de plus de 52 km de longueur (52 702 m), qui apportait l'eau de la Fontaine d'Eure, située au pied d'Uzès, jusqu'à la ville romaine de Nemausus, aujourd'hui Nîmes4, alors à son apogée. Les eaux de la source proviennent en partie de la rivière d'Alzon, qui passe par les environs d'Uzès, et des eaux récoltées du mont Bouquet, situé plus près d'Alès. L'aqueduc proprement dit est un chef-d'œuvre d'ingénierie, témoignage de l'extraordinaire maîtrise des constructeurs anciens : le dénivelé entre les points de départ et d'arrivée n'est que de 12,6 m, la pente moyenne générale étant de 24,8 cm par km. À cause du relief, l'aqueduc serpente à travers les petites montagnes et vallées des garrigues d'Uzès et de Nîmes5.
L'aqueduc de Nîmes a sans doute été construit au ier siècle de notre ère, comme en atteste la céramique. Des tunnels datant de l'époque d'Auguste ont dû être contournés, ce qui montre que la construction de l'aqueduc est postérieure, et les monnaies retrouvées dans les réservoirs de la ville de Nîmes, où étaient recueillies les eaux de l'aqueduc, ne sont pas antérieures au règne de l'empereur Claude (41-54). On pense donc que la construction de l'aqueduc dont fait partie le pont du Gard doit se situer entre les années 40 et 506. On estime à mille le nombre d'ouvriers, travaillant sur cinq années intenses.
Son débit moyen a été estimé à 40 000 mètres cubes d'eau par jour3, soit 400 litres d'eau par seconde. L'eau courante mettait une journée entière pour parvenir par gravité de son point de captage jusqu'à l'ouvrage de répartition, sorte de château d'eau appelé castellum divisorium, encore visible rue de la Lampèze à Nîmes. Nemausus possédait un certain nombre de puits, ainsi qu'une source proche : la construction de l'aqueduc ne relevait donc pas d'une nécessité vitale, mais plutôt d'un ouvrage de prestige, destiné à l'alimentation des thermes, bains, jardins et autres fontaines de la ville. De fait le pont symbolise le génie scientifique romain. Le défi était d'autant plus grand que le pont devait résister aux crues redoutables du Gardon.
Dès le ive siècle cependant, l'entretien commença à faire défaut, tandis que des dépôts calcaires occupaient les deux tiers, parfois les trois quarts, de la conduite. On estime à présent qu'il avait cessé de fonctionner au commencement du vie siècle, à l'époque où, à la suite de la bataille de Vouillé, les Francs prirent le contrôle de la région d'Uzès, tandis que les Wisigoths se maintenaient à Nîmes : on a retrouvé des céramiques contemporaines dans les couches d'abandon, et l'aqueduc servit alors de carrière de pierre (des concrétions détachées des parois du canal ont été utilisées par les riverains pour leurs propres constructions et pour couvrir des sarcophages du cimetière de Saint-Baudile à Nîmes)
Jardin aux plantes :




Le jardin des plantes de Montpellier est un jardin botanique universitaire fondé en 1593 et qui fait partie intégrante du patrimoine de la faculté de Médecine de Montpellier et de l'université de Montpellier. C'est le plus ancien jardin botanique de France devant celui de Strasbourg fondé en 1619, celui de Paris créé en 1635 et celui de Caen en 1736. Ce jardin a une triple vocation : botanique, historique et universitaire.
Lors de sa fondation en 1593 par Pierre Richer de Belleval, le jardin des plantes de Montpellier était destiné à la culture des « simples », mais le projet de Richer dépassa rapidement les seules plantes médicinales qui servaient à l'enseignement des futurs médecins et apothicaires pour devenir un véritable outil d'étude botanique, inédit à l'époque.
En 1593, Henri IV confia à Pierre Richer de Belleval la création d'un jardin botanique suivant le modèle de celui de Padoue créé vers 1545. Le projet prend rapidement de l'ampleur et ne se limite pas à la culture des simples. Richer en publie le catalogue en 1598, mais les guerres de religions qui ravagent la région anéantissent également le jardin lors du siège de la ville en 1622. Richer de Belleval doit tout reprendre à zéro. Au début du xviie siècle, le jardin des plantes de Montpellier fut non seulement un jardin scientifique, avec son importante collection de végétaux, mais un jardin précurseur dans sa manière d'appréhender le monde végétal dans sa diversité, en reproduisant différents milieux (ombragé, ensoleillé, humide, sablonneux, pierreux...) et en consacrant un emplacement aux plantes exotiques.
En 1851, le botaniste Charles Frédéric Martins est nommé directeur du jardin des plantes de Montpellier, charge qu'il conservera jusqu'en 1879. En 1860, il fit construire une grande serre, dans le jardin botanique de Montpellier, qui porte aujourd'hui son nom, la serre Martins.
Sa valeur pédagogique étant reconnue, il est fréquenté par nombre de botanistes, médecins et pharmaciens, écoliers et étudiants mais aussi, par des amateurs de la flore, des touristes et de nombreux amoureux de la nature et des plantes. Le Jardin des plantes, qui s'étend sur 4,6 hectares, est propriété de l'État, affecté à l'université de Montpellier et géré par la faculté de Médecine de Montpellier.
C'est l'un des plus beaux éléments du patrimoine paysager de Montpellier et il a été classé au titre des sites en 1982 et classé monument historique en 19921. Sa restauration, cadrée par une étude préalable de l'architecte en chef des Monuments historiques, est en cours (2010), avec la réhabilitation de la serre Martins et l'aménagement de ses abords.
- Classé site protégé le 12 février 1962, il est classé Monument historique depuis le 3 septembre 1992 ;
- Superficie : 46 460 m2.
Zoo du Lunaret :







Le parc zoologique de Montpellier, aussi connu sous les noms de parc du Lunaret, parc zoologique de Lunaret ou encore parc Darwin, est un parc zoologique français situé en région Occitanie, au nord de la ville de Montpellier, dans le quartier Hôpitaux-Facultés au sein du sous-quartier Aiguelongue. Fondé en 1964, il présente aujourd'hui environ 750 animaux de 141 espèces sur une superficie de 80 hectares. Il comporte notamment une ferme pédagogique, une réserve naturelle et une serre amazonienne. Propriété de la ville de Montpellier, qui le finance entièrement, il est co-dirigé par Luc Gomel et David Gomis.
Membre permanent de l'Association européenne des zoos et aquariums depuis 1997, il s'engage dans la conservation ex situ en participant à des programmes européens pour les espèces menacées (EEP).
La gratuité de l'entrée de la plus grande partie du parc contribue à en faire l'un des dix parcs zoologiques les plus fréquentés de France, avec plus de 500 000 visiteurs annuels. Il fait partie des cinq zoos les plus vastes de France.
Le parc zoologique est construit sur la partie haute du domaine de La Valette, un très ancien domaine passé entre de nombreuses mains depuis le seigneur de La Valette au xiie siècle, jusqu'à Henri de Lunaret, qui achète le domaine en 1906 pour faire un placement. Celui-ci meurt en 1919 sans héritier et dans son testament, il donne La Valette à la ville de Montpellier tout en laissant l'usufruit à sa sœur Madame Busson de Lavèvre. Le legs est assorti d'une condition : créer sur La Valette un orphelinat ou bien donner au domaine une autre affectation pourvu qu'il s'agisse d'une œuvre de bienfaisance2.
Le directeur de l'École d'Agriculture de l'époque, Gabriel Buchet, est fortement intéressé par le domaine de La Valette, qu'il pense idéal pour servir de champ d'expérience. Madame de Lavèvre accepte de lui louer son domaine. La ville de Montpellier, en la personne du maire Jean Zuccarelli, donne son accord et un bail emphytéotique est conclu le 1er mars 1939 avec le directeur de l'École qui reçoit le domaine. Sur la partie acquise par l'École se trouvent aujourd'hui les nombreux laboratoires de recherche du centre Agropolis2.
Il laisse à la Ville la partie haute et boisée du domaine qui devient en 1964 le Parc Zoologique du Lunaret, avec Marcel Gallet pour directeur, après que François Doumenge, alors adjoint à l'urbanisme au Maire de Montpellier François Delmas, a proposé d'y construire un tel équipement3.
En 2012, le vétérinaire David Gomis quitte la direction du Jardin zoologique de Lyon pour prendre la direction technique du zoo de Montpellier, après avoir été mis en cause médiatiquement dans la gestion de l'affaire de suspicion de tuberculose sur les éléphantes d'Asie Baby et Népal4.
En 2016, la Ville décide de moderniser le zoo en investissant 30 millions d'euros dans un plan de rénovation s'étendant de 2016 à 20213. Actuellement municipal, il sera amené à devenir un équipement de Montpellier Méditerranée Métropole.
Patinoire Végapolis :



La patinoire Végapolis est la patinoire ludique de Montpellier, ouverte en décembre 2000 dans le quartier à vocation ludique et commerciale d'Odysseum.
Elle comprend deux pistes :
- une piste olympique de 1 800 m² de glace (60 × 30 m) avec ses rangées de gradins déclinables en deux versions 1200 et 2400 places selon l'importance des évènements,
- et la piste ludique de 1 300 m² de glace, composés de dénivelés, d'un tunnel lumineux et d'espaces à thèmes. Utilisation des Jeux Olympiques.
Elle accueille le club de patinage artistique de Montpellier, le Montpellier Agglomération patinage1 et celui de hockey sur glace, le Montpellier Agglomération Hockey Club.
Elle a remplacé la précédente patinoire de la ville et de ces clubs qui se trouvait dans le quartier de Vert-Bois, au nord de la ville.
HORAIRES :
PÉRIODE SCOLAIRE PETITES VACANCES (ZONE C) GRANDES VACANCESLundi 12:00 - 14:00 / 16:30 - 19:30*
Mardi 12:00 - 14:00 / 16:30 - 19:30* / 20:30 - 23:30*
Mercredi 14:00 - 17:30 / 20:30 - 23:30
Jeudi 12:00 - 14:00 / 16:30 - 19:30*
Vendredi 12:00 - 14:00 / 16:30 - 19:30* / 20:30 - 23:30
Samedi 14:00 - 17:30 / 20:30 - 23:30
Dimanche 10:00 - 13:00 / 14:00 - 17:30
Aquarium Montpellier Odysséum :






Planet Ocean Montpellier est un complexe rassemblant un aquarium et un planétarium situé dans la zone ludique d'Odysseum à Montpellier. Jusqu'en avril 2018, les gestions de l'aquarium et du planétarium se font de manière indépendante : l'aquarium s'appelle alors Mare Nostrum et la planétarium Galilée. La partie aquarium est ouverte depuis le 15 décembre 2007.
En janvier 2017, Montpellier Méditerranée Métropole, propriétaire de l'aquarium et du planétarium, délègue la gestion des deux structures à la société Aspro-Ocio2.
En avril 2018, l'aquarium Mare Nostrum et le planétarium Galilée fusionnent pour laisser place à Planet Ocean Montpellier.
Caractéristiques de Planet Ocean Montpellier
- 400 espèces.
- 2h de visite.
- 2,9 millions de litres d'eau.
- Bassin central de 10 m de haut et de 18 m de diamètre, plus grand bassin couvert de France.
- Amphithéâtre de 190 places équipé pour la visioconférence.
- Un espace restauration de 55 places au cœur de la forêt tropicale, l'Émeraude Café.
- À proximité immédiate de la zone commerciale Odysseum.
- De nombreuses possibilités de visite : visites libres, commentées, animées.
- Ouvert 363 jours par an.
- Bornes multimédia avec écran tactile et bande son pour certaines.
- Des lieux réservés aux enfants sur tout le parcours (tunnel sensoriel, jeux de l'espace pédagogique, cabane derrière le lagon, toboggan, ...).
- Un simulateur de tempête en mer.
- Jusqu'à 6 animations par jour (nourrissages, entraînements...).
- Un nouvel espace "Univers" pour une découverte ludique de notre galaxie.
- La présence constante d'un personnel d'accueil et d'animation compétent sur le parcours pour répondre à toutes les questions.
Accès[modifier | modifier le code]
- En tramway ligne 1, station "Place de France".
- En bus ligne no 9 ou "La Ronde", arrêt "Odysseum".
- En voiture : Autoroute A709, sortie 29 direction « Millénaire » puis « Odysseum ».
- Parking extérieur : Le Parking de la Mer est le plus proche. - 2 heures gratuites - "Dépose minute", véloparc, accessible aux personnes à mobilité réduite.
Centre de Montpellier :










L'arc de triomphe de Montpellier est un monument érigé en 1691 par Augustin-Charles d'Aviler, architecte de la province du Languedoc, sur des dessins effectués par François II d'Orbay1.
Cette porte d'apparat symbolise la puissance de la royauté pour accéder à la statue équestre dédiée à la gloire du roi Louis XIV. Elle s'inspire fortement de celle de Saint-Martin à Paris[réf. nécessaire]. Dans la continuité et comme la Promenade du Peyrou, l'arc de triomphe est classé monument historique en 1954.
a construction de l'Arc de triomphe de Montpellier coûta 11 850 livres à la ville. Construit sur un des points les plus hauts de la ville à une altitude de 52 mètres, il donnait accès au Puy d'Arquinel, lieu « pierreux » appelé Peyrou. Avant sa construction, un pont-levis permettait de franchir un fossé qui délimitait les remparts de la « commune clôture ». Il y a aujourd'hui un pont de pierre de 28 mètres de large remplaçant cet ouvrage. Bien que plus petit que la porte Saint-Martin de Paris, il mesure tout de même 15 mètres de haut et 18 mètres de large. Son portique a une ouverture de 4,70 mètres et une hauteur de 7 mètres. Il a fallu pour sa construction l'extraction de plus de 120 m3 de pierres, pour la plupart venant des garrigues, notamment les carrières, des environs de Montpellier et de Pignan, Saint-Jean-de-Védas, Pondres (sur la commune de Villevieille) ou encore Saint-Geniès-des-Mourgues.
La place de la Comédie à Montpellier est la place centrale de la ville, au sud-est de l'Écusson, en plein cœur de ce que fut la cité médiévale. Elle s'étend sur un ancien espace de fortifications qui aboutit à la citadelle de Montpellier (actuel lycée Joffre) et à l'esplanade Charles-de-Gaulle à l'Est. De forme grossièrement rectangulaire et allongée, elle mesure environ 230 m de long sur 50 m de large. Elle forme avec l'esplanade (340 m de long sur 50 m de large), un des plus grands ensemble piétons de France.
Elle tient son nom du théâtre municipal dont la façade monumentale orne le côté sud-ouest de la place. La place de la Comédie est le point névralgique, le centre de toute activité montpelliéraine et, de fait, elle constitue un grand pôle d'attraction mais aussi le point de départ pour une découverte plus approfondie de la ville historique.
Montpellier regorge de petites places idéales pour faire une pause. Vous cherchez une petite place au calme pour un instant de détente ? Une place ensoleillée pour boire un verre en terrasse ? Un bon restaurant sur une place animée du centre-ville ? Place de la Comédie, place Jean-Jaurès, place de la Canourgue... Laissez-vous guider pour trouver la place de Montpellier qui correspond à vos envies.
Le charme de Montpellier repose dans ses nombreuses places et placettes au cœur de l'écusson. Incontournable, il y a d'abord la Place de la Comédie, la place centrale et emblématique de Montpellier. Idéale pour faire une photo souvenir devant la statue des trois grâces ou pour boire un verre sur une des nombreuses terrasses ensoleillées.
La place Jean-Jaurès est quant à elle le lieu de rendez-vous pour un repas le midi ou pour une sortie entre jeunes le soir. Un peu plus loin, à ne pas manquer : la Place de la Canourgue, un havre de verdure avec vue sur la Faculté de médecine.
La Place Saint Roch, la place Sainte-Anne et la place Saint-Côme accueillent des monuments historiques et sont idéales pour une pause gourmande.
Enfin, autour de la Préfecture, n'hésitez pas à vous accorder un instant de détente, au bord de la fontaine sur la Place du Marché aux fleurs ou sur la place des Martyrs de la Résistance toute proche avec vue sur l'arc de triomphe.
La promenade du Peyrou, également appelée place royale du Peyrou, est une esplanade de 4,59 ha1 située à l'ouest du quartier de l'Écusson dans la ville de Montpellier (Hérault), en bordure de l'ancienne enceinte « commune-clôture ». Cet ensemble, classé parmi les monuments historiques, représente une conjonction de cinq œuvres : la promenade et ses terrasses permettant de contempler les Cévennes et les Pyrénées qui a été aménagée en 1689, la porte du Peyrou ou l'Arc de Triomphe avec son pont et ses rampes d'accès, réalisés en 1691, la statue équestre de Louis XIV érigée en 1718, l'aqueduc Saint-Clément et son réservoir construit à partir 1753, le château d'eau dont le projet fut retenu en 1766, les statues enfant et lion d'Injalbert et les grilles des entrées en 18832. Plus tard, en 1927, la construction d'un cadran solaire analemmatique, réalisé à l'initiative du Pr Pierre Humbert et en 1939, la prise de la photo symbolique du résistant Jean Moulin. D'importants travaux de rénovation ont été effectués depuis les années 1980 pour préserver les lieux.
La promenade est située dans le sous quartier du « centre historique » appartenant au quartier « Montpellier centre ». D'une longueur de 289,50 mètres pour une largeur de 160,56 mètres, représentant 4,59 ha, elle possède quatre portes d'entrées, trois sur sa partie est et une en haut des escaliers sur sa partie ouest
L'Arbre blanc est un nouveau projet de tour à Montpellier, sorti de l'imagination de deux architectes français Manal Rachdi Oxo architects et Nicolas Laisné Associés, et d'un architecte japonnais Sou Fujimoto. Fruit de la rencontre entre la Méditerranée et le Japon, cette nouvelle tour de 10 000 m2 abritera des logements, un restaurant, une galerie d'art, un bar panoramique et des bureaux.
Certains la qualifient déjà de « folie architecturale du XXIe siècle », d'autres de futur « phare » ou « d'étoile » dans la skyline de la métropole régionale de Montpellier... Derrière tous ces surnoms originaux se cache le dernier projet architectural de la ville : une tour de 10 000 m2, nommée « L'Arbre blanc » par ses créateurs.
Fruit d'une rencontre poétique entre le Japon et la Méditerranée, cette nouvelle tour est un croisement entre deux générations d'architectes : une génération au sommet de son art avec le japonais Sou Fujimoto, et une jeune génération française incarnée par Manal Rachdi Oxo architects et Nicolas Laisné associés.
« La forme même de l'arbre blanc, incurvée comme une paire d'ailes pour épouser la ligne tracée par le Lez jusqu'à l'avenue de la Pompignane,est ainsi pensée comme une forme naturelle que l'eau ou le vent serait venu creuser, sculpter au fil du temps. Tel est précisément l'arbre, qui adapte sa croissance à son environnement et, dans le même temps, améliore celui-ci en lui offrant son ombre bienfaisante », résument les architectes.
Fusion du dehors et du dedans
Ce projet est aussi un pari, celui de s'attacher aux qualités du « vivre dehors » dans un environnement de qualité et une atmosphère de liberté.